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* L’Idée est de traduire l'émotion créée par les actrices et meilleures représentantes des chefs-d'œuvre du cinéma mondial, comme la fascinante Phyllis Dietrichson (Barbara Stanwyck « Assurance sur la mort » « Double Indemnity », 1944), la touchante et irrésistible princesse Ann (Audrey Hepburn « Vacances romaines » «Roman Holiday», 1953), la fragile et  sensuelle Madame de Tourvel ou la troublante  marquise de Merteuil (Michel Pfeiffer, Glenn Close "Les Liaisons Dangereuses",  « Dangerous Liaisons » 1989) la mère raffinée et majestueuse de Tadzio (Silvana Mangano, « Mort à Venise » « Death in Venice »,  1971) l'envoutante et bouleversante Maddalena Cecconi (Anna Maniani « Bellissima », 1951) et bien d'autres encore.

LE CONCEPT DE LA MARQUE CINÉMA DE MES NUITS EST LA CRÉATION D'UNE LIGNE DE VÊTEMENTS DE PRÊT A PORTER FÉMININ DONT LA SOURCE D'INSPIRATION EST LE SEPTIÈME ART*

 

Bons baisers de Russie

Macha Totibadze a toujours eu besoin de créer, de matérialiser ses inspirations quelque soit le support; poupées, décors, dessins, peintures et maintenant couture. Elle est issue d'une grande lignée d'artistes géorgiens : l’académie des beaux-arts de Tbilissi porte le nom de son grand père, son père a dirigé cette même académie et ses frères sont des peintres reconnus en Russie. Sa mère, Nana, muse incarnée, était une femme d’une grande élégance dont on retrouve l'écho dans les robes de cette première collection.

Macha suit donc tout naturellement une formation artistique, d'abord à Moscou puis à Paris, étudie l'histoire de la mode, du costume de théâtre et de cinéma et participe en tant que peintre à plusieurs expositions. "Créer est ma façon d'avancer, de m’exprimer, c’est une nécessité".

Paris, je t'aime 

Macha s’installe définitivement à Paris où elle donne naissance à sa fille Paola. Tout en continuant ses activités artistiques, elle s'investit pendant une dizaine d'années dans le prêt-à-porter en gérant une société d'import-export de vêtements et lingerie.

Macha suit donc tout naturellement une formation artistique, d'abord à Moscou puis à Paris, étudie l'histoire de la mode, du costume de théâtre et de cinéma et participe en tant que peintre à plusieurs expositions. "Créer est ma façon d'avancer, de m’exprimer, c’est une nécessité".

Pour Macha Totibadze, chaque détail compte. Face à une mode qu'elle trouve parfois un peu fade, « normatée », aux finitions trop rapides, le choix de créer son univers s'impose. Elle prend alors contact avec le Tout-Paris des artisans de la mode, des modélistes haute-couture aux boutonniers en passant par les bureaux d'étude pour créer sa marque "Cinéma de mes nuits" et mettre en œuvre sa première collection.

"Lorsque j'étais petite, les magasins à Moscou n'offraient que peu de choix". En réaction peut être, Macha a toujours aimé la mode, jouer avec les accessoires, et surtout les tissus dans leur grande variété, qu’elle aime toucher pour mieux les appréhender. Aujourd'hui encore, le choix des matières est un élément déterminant pour sa collection aux coupes complexes qui pour certaines se rapprochent du "Flou", et flirtent avec  la haute-couture. 

On y trouve le lin Irlandais, les tissus britanniques (Liberty), la dentelle française (Sophie Hallette), la soie et la viscose italienne, ainsi que le savoir-faire traditionnel français du plissé (Plissés de France). 

Les prototypes et le patronage ont été réalisés par les modélistes du bureau d'étude KAMI (Kenzo, Céline, Lacroix, Givenchy...)

"Il y a un véritable savoir-faire, un haut niveau de technicité dans la création en France. C’est une chance dont il faut savoir tirer parti afin de préserver ces métiers et leur production".

Et Dieu créa la femme

Macha Totibadze présente 10 modèles pour 10 séductrices, avec en commun une silhouette et une distinction. Cette collection d'une apparente simplicité est en réalité sophistiquée jusqu’au moindre  détail. Certains modèles sont montés en plus de 40 pièces avec des coupes élaborées visant à mettre en valeur le corps et flatter sa féminité. "La femme fatale n'est pas forcement agressive, elle peut être discrète dans une première approche, mais ses vêtements doivent la définir". 

« En choisissant une robe,  nous pouvons choisir qui nous voulons être pour la journée, pour la soirée. Nous devenons un personnage au gré de nos accessoires et de nos humeurs, le temps de révéler notre côté Woody Allen ou Marlène Dietrich… Avec cette collection, je ne veux pas que l'on voit des robes, mais des femmes".

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